De m’exprimer.. c’est la clé de l’authenticité,

De me tromper… c’est un signe d’humilité,

De risquer… c’est un pas vers la liberté,

De m’isoler… c’est le seuil de l’intériorité,

D’écouter… c’est l’itinéraire de la vérité,

De m’interroger… c’est l’éclaircie de l’incertitude,

De dire la vérité… c’est le miroir de la transparence,

De m’émouvoir… c’est l’ouverture à l’émerveillement,

De pleurer… c’est l’éclosion de la sensibilité,

De rire… c’est l’apanage de la joie,

De chanter… c’est le palliatif de la tristesse,

De prier… c’est l’abreuvement à la source

De pardonner… c’est l’ultime pas vers la libération,

De remercier… c’est l’amorce vers la gratitude,

De rêver… c’est l’ascension vers la réalisation.

" Par trois méthodes, nous pouvons apprendre la sagesse :

d'abord, par la réflexion, ce qui est le plus noble,

la deuxième, par imitation, qui est le plus facile,

Confucius

Vivre… un espoir…

Vivre, c’est faire un pas en avant Sans regarder en arrière.

Vivre, c’est se dire chaque matin

Qu’un rêve nouveau va naître.

Vivre, c’est espérer que ce soir

Ce nouveau rêve se réalisera.

Vivre, c’est croire fermement qu’un jour,

Ce rêve nouveau s’accomplira dans toute sa plénitude

. Vivre, c’est aussi… un peu de bonheur

Solitude, quand tu me prends.

Solitude, quand tu pénètres mon cœur, Je songe à des moments de bonheur, Des petites choses de la vie que je vais déguster

Dehors, c’est dame nature qui me fait rêver. Elle m’offre des sourires d’oiseaux siffleurs gais, Des parfums qui titillent délicatement mon nez.

Il y a toujours un petit coin de ciel bleu, Un rayon de soleil pour nous rendre amoureux De la vie qui fait battre nos cœurs et espérer

Des jours meilleurs remplis de clarté, L’amour qui pour la vie est le miel Car après la pluie brille le soleil.

Marie Laborde.

Comment vivre en paix avec soi-même ?

Arrêter de se torturer à propos de tout et de rien? Notre mécontentement intérieur s’appuie pour l’essentiel sur des sentiments tels que la jalousie et l’envie.

On se compare sans cesse aux autres, croyant qu’ils ont beaucoup plus de richesses, de beauté, de force, d’amour que nous…

Quand vient l’occasion de constater de plus près ce qu’il en est vraiment et de quel prix se paie toute réussite, fatalement éphémère, le bruit et la fureur du monde paraissent bien vains.

On cesse alors de souffrir de ce qu’on n’a pas, de vouloir être ce qu’on n’est pas, pour se réjouir des éléments positifs de sa vie et surtout progresser vers les vraies sources de joie et de paix… »

Le goût de vivre

Annick Tellenne