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Bonheur, je t'attends !Il y a un moyen sûr, que tu sois heureuxEt c’est alors, de rendre les autres heureuxAu fond, peut être heureux qui le veutC’est quelque chose de vraiment contagieuxBien des gens voudraient faire ce que tu faisBien d’autres, voudraient être ce que tu esRegarde-toi, et regarde aussi autour de toiAime-toi, regarde ce que tu as fait déjàAvoir du bonheur est toujours possibleOn doit d’abord nous rendre plus accessibleRegarder les autres, mais avec nos yeuxEt dans notre attitude demeurer généreuxMais il faut, que tu te souviennes aussiQue tu as toi-même ta propre vieEt que pour être heureux dans celle-ciTu dois être un peu égoïste aussiÊtre heureux, il faut vraiment le vouloirMais il faut avant tout le déciderY’a tellement de choses qu’on peut avoirQuand on veut vers nous les attirerVis, souris, aime-la beaucoup la vieTu t’attireras de nombreux amisTexte Claude Marcel Breault
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Je voudrais montrer, à ceux que j’aime déjà Combien ils sont, importants pour moi Leur dire, qu’avec eux je me sens bien Et combien, leur présence me fait du bien
Une vie, ça peut être court ou très long Toutes nos vies ont une date d’expiration Il fait si bon, avec des gens que j’aime Pouvoir leur dire combien je les aime
De leur dire, ce que je ressens pour eux De faire des choses différentes avec chacun d’eux Être avec ces gens que j’aime, ça me suffit Pour me faire vivre la plus belle des vies
C’est d’ailleurs ainsi, que souvent j’ai muri J’ai appris, à faire face à mes ennuis C’est bon, d’être entouré de gens qui t’aiment Avec chacun d’eux, y’a vraiment plus de problèmes
Mieux vaut, peu de gens qui t’aiment Que plusieurs qui t’apportent leurs problèmes Mais dommage, beaucoup aiment et ne le disent pas Quand beaucoup sont aimés, et ne le voient pas
Texte Claude Marcel Breault
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Lac de Morat
Tu ne peux pas retenir LE TEMPS
IL PASSE
Il coule entre tes doigts Comme l'eau de la fontaine,
Il glisse dans ta main Comme le sable de la mer....
Tu ne peux rattraper LE PASSE
IL N'EST PLUS
Il s'en est allé Comme le couchant d'hier
Il a disparu Comme un souvenir perdu...
Tu ne peux emprisonner LE FUTUR
IL N'EST PAS ENCORE
Il viendra à son heure Comme le levant de Demain
Mais tu peux toujours cueillir LE PRESENT
Le présent est comme un arbre
Il plonge ses racines
Dans ton passé plein de souvenirs et d'expériences....
canal de la Broye
( photo prise juste avant la tombé de la nuit )
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Jeune, bien souvent on fait des sottises
On est libre, on se fout aussi des balises
Nos corps sont jeunes, nos cœurs vieux
Mais on ne voit pas loin avec nos yeuxLa vie, l’amour, tout ça nous grise
Nos jours sont courts et pleins de surprises
Des choses qu’on n’espérait pas
Un amour qui vient et qui s’en vaDans ce monde un peu indiscipliné
On sent le besoin de se protéger
Et quand on nous parle un peu sérieux
On dit merci et…. Sauve qui peutOn croit que c’est l’âge de la liberté
Quand c’est le début des responsabilités
On voudrait retrouver notre adolescence
Même faire un retour dans notre enfanceMais il nous faudrait, plus d’assurance
On ne les a plus, nos jouets d’enfance
On a vingt ans, puis il serait de mise
Qu’on soit responsable de nos bêtisesTexte Claude Marcel Breault
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Notre premier bonheur au réveil
C’est d’abord de voir le soleil
De pouvoir aussi nous lever
Mais aussi de pouvoir circuler
De savoir, qu’il fera très beau
De déjà entendre chanter les oiseaux
Ce sont souvent les plus p’tits gestes
Qui peuvent tout changer ou presque
Que quelqu’un vous serve le café
Que vos rôties soient déjà beurrées
L’importance je pense, dans notre lever
Est d’en faire un moment d’exclusivité
Tout couple qui aime fonctionner
Prend toujours le temps d’apprécier
Le temps aussi de nous saluer
Celui de s’arrêter, celui de nous parler
Sourire est aussi un très bon choix
Si on veut du bonheur autour de soi
Un regard, un mot, il en faut si peu
Pour bien débuter notre journée à deux
Inutile souvent, de chercher bien loin
Rien ne remplace un beau câlin
Inutile même, d’écrire un long poème
Quand on veut lui dire, je t’aime
Texte Claude Marcel Breault
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